Identité
- Nom :
Komoka
- Prénom :
Shikou
- Surnom :
Shi-chan, ou aussi Oku-chan (raccourci de "okubyou", soit "peureuse"...)
- Age :
21 ans
- Spécialité :
Guérison et auto-régénération
- Rang :
Infirmière
- Sexualité :
Se pense hétéro
Description physique
1.50m de nerfs et 38 kilos toute mouillée, voilà Shikou.
Eh oui, en effet, c'est un petit gabarit pour ses 21 ans, mais la chose ne la complexe pas le moins du monde, en revanche, celui qui lui fera une remarque sur sa taille apprendra que l'infirmière à une excellente dentition, et est tenace. Un vrai pit-bull! ... Heureusement qu'elle soigne après, quand même. Enfin, ça dépend aussi de qui l'embête, les gens qui ne lui reviennent pas, elle les laisse en plan avec une aspirine, et débrouilles-toi coco!
Si Shikou est plutôt mince (à vrai dire ses jambes sont tellement fines qu'on à souvent peur de les casser rien qu'en la bousculant, et ses bras... Eh bien c'est un peu pareil, mais comme dit plus haut, l'infirmière est bien plus résistante et forte qu'on ne veut bien le croire!), elle garde un visage un peu rond, souvenir de la petite enfance, avec les pommettes rosées, et une fossette des plus craquante dans le creux des joues quand elle sourit, ce qui lui arrive bien souvent, vu son heureux caractère.
Visage ovale aux traits assez communs mais distingués, ce qui frappe chez Shikou, vu la pâleur de sa peau, ce sont ses yeux. Immenses, couleur noisette, doux, vifs et rieurs, mais lorsque Shikou est concentrée, ils affichent une détermination à toute épreuve, et quand elle est en colère... Eh bien ça se voit, et très bien, même, mais loin de faire rire, le regard-de-la-mort-qui-tue de Shikou est très efficace : quand elle braque ses yeux sur une personne, elle lui donne l'impression de voir en elle, de la mettre à nue, sensation très désagréable, qui met généralement assez mal à l'aise n'importe qui.
A son plus grand desespoir, Shikou n'a pas de poitrine. Enfin, si, mais si peu... Mademoiselle tape dans le 75B chez Push-up et Wonderbra, mais ce n'est toujours pas ça qui lui donnera la poitrine dont elle rêve. Comme pour sa taille, attention aux remarques déplacées. Le premier qui la traîte de planche à pain en prendra pour son grade et risquera d'écoper de quelques heures de colle. Faut pas pousser mémère dans les orties, non plus!
La grande fierté de Shikou, ce sont ses cheveux. Longs et blonds, tout simplement magnifiques, ondulés, voir quasiment frisés, l'infirmière peut passer des heures à se coiffer... Superficielle? Nan, presque pas.
Personnalité
Shikou est une jeune fille assez facile à vivre par nature : très ouverte, elle aime rire et à toujours un mot gentil ou un sourire pour qui vient la voir. Cependant, il arrive que certaines personnes ne lui reviennent pas. Eh oui, sans raison particulière, juste parce que ça lui fera penser à quelque chose de désagréable, Shikou n'aimera pas tel ou untel, et pourra alors se montrer désagréable à la limite du supportable. Elle y arrive très bien et presque sans effort. Mais bon, dans la mesure du possible, Shikou, elle aime tout le monde, et Haku, son grand-frère, avant tous.
La jeune fille n'a pas un sens aïgue de la loyauté, pour elle, être loyale, ça s'apparente plus à la gente canine qu'humaine, cependant, elle l'est sans s'en rendre compte, et être dans les petits papiers de Shikou, pour ceux qui n'y sont pas, ça veut dire alors qu'il vaut mieux faire très attention à ce qu'on dit sur les amis de l'infirmière, et ceux qui se risqueraient à critiquer ceux qu'elle aime, même pour rire, risqueraient fort de le regretter, parce que si Shikou ne semble pas forte, à première vue, elle à de très bonnes dents, de longs ongles, et une énergie hors du commun, en plus d'une connaissance médicale assez utile. En bref, Shikou est quelqu'un de dévoué sur le plan amical, quant au plan médical, c'est une véritable perle!
Bavarde, Shikou, sans pour autant être une commère, est au courant de la plupart des potins de l'école. Mais elle ne dit ce qu'elle sait que si on le lui demande, sinon, elle le garde pour elle, et parlera sans aucun problème de la pluie et du beau temps. Ah oui, quand elle commence à parler, il est généralement assez difficile d'arrêter Shikou qui peut partir dans de grands monologues sans le moindre problème, et ne se laisse que rarement interrompre...
Le grand défaut de l'infirmière? "J'suis froussarde, mais j'me soigne!" Peut de gens le savent, mais Shikou à une peur presque phobique du sang... Eh oui, c'est bête, mais c'est comme ça. Mais le problème, c'est qu'elle n'a pas peur que du sang. Shikou à peur d'a peu près tout. La seule fois où elle a regardé un film d'horreur, elle avait 16 ans, et elle à dut laisser la lumière allumée dans sa chambre pendant une semaine, tellement elle avait peur. Il lui arrive encore parfois d'en faire des cauchemards... Quel sang-froid!
Histoire
Il y à des enfants qui naissent prématurément. D'autres, au contraire, semblent décidés à rester un mois de plus dans le ventre de maman, histoire de profiter encore un peu de cet intérieur si confortable.
Shikou, elle, faisait parti de la deuxième catégorie.
Prévue pour le 30 Mars, à tout casser, elle se pointa tranquillement 24 jours plus tard en hurlant tout ce qu'elle pouvait, histoire d'inaugurer ses petits poumons tout neufs. Décidement... Elle promettait d'être une sacrée chieuse, celle-là!
Bébé, Shikou faisait de grands sourires, buvait consciencieusement jusqu'à la dernière goutte de son biberon, et faisait de loooooooooongues siestes, bref, c'était un bébé modéle. Excepté la nuit. Elle devait être machiavéliquement programmée pour se tenir tranquille tout le jour et empêcher ses parents de dormir la nuit, ne s'arrêtant de brailler qu'au levé du jour et qu'à tout casser, son pauvre père et sa pauvre mère n'avaient plus qu'une heure à dormir avant d'aller travailler. Sa mère disait souvent qu'il était heureux qu'elle travaille avec des personnes qui n'auraient jamais plus l'occasion de se plaindre, car dans le cas inverse, on eut put lui reprocher plus d'une faute professionnelle. Son époux, lui, devait carburer aux somnifères et aux boules quiès la nuit, car il n'avait pas la chance de travailler avec des cadavres, lui, et une erreur de dosage dans ses préparations, et ses clients deviendrait bien vite ceux de sa femme... Eh oui, maman légiste, papa préparateur en pharmaceutique...
Cependant, vers ses 16 mois, Shikou se calma sensiblement, et ses parents retrouvèrent le bonheur incomparable d'une nuit de 8 heures non-interrompues. C'était l'Eden, le panard! Ah ah! Qu'elle était belle la vie! 8 heures longues et entières pour dormir! [... que celui qui croit que j'exagère n'ait qu'à tenter le coup, et on verra...]
Quand Shikou commença à parler et marcher... Ce ne fût pas de tout repos. Bavarde, elle racontait pendant des heures en un langage yaourt que personne n'arrivait à traduire, ce qui l'énervait au plus haut point puisque lorsqu'elle exigeait qu'on la prenne dans ses bras, on lui donnait régulièrement doudou ou biberon, mais jamais ce qu'elle voulait... Shikou était aussi une sacrée casse-cou(et on peut aussi optionnellement rajouter "illes" à la fin). Ne tennant pas en place, il fallait toujours garder un oeil sur elle pour vérifier qu'elle n'était pas en train d'escalader pas un meuble ou qu'elle n'allait pas emmerder le chier, qui n'était pas du genre patient...
A deux ans et demi, Shikou allat à la maternelle, seulement, traumatisée par le départ de sa maman, dix minutes après son arrivée, la fillette fit ce qu'elle faisait de mieux après faire tourner le monde en bourrique : elle se mit à pleurer. Malheureusement, ses pleurs tapèrent sur les nerfs d'un des garçonnets présent, qui fit alors ce que les parents de la petite n'avait jamais osé faire sinon en rêve : il attrapa une des petites chaises, et de toutes ses forces, l'écrasa sur la tête de la pauvre Shikou, qui, en plus d'être abandonnée dans un endroit inconnu, se faisait sauvagement agressée! Elle ne retourna à l'école qu'en Mai de la même année. Les maîtres se demandèrent pourquoi la petite Komoka se baladait avec un casque de vélo deux fois trop grand sur la tête, mais comme Shikou répondait invariablement, l'air déterminé, le pouce entre les dents "gnest pas'que gny'a des méssants qui tapent chur ma tête...", ils laissèrent tomber. Jusqu'à la fin de l'année scolaire, il fut impossible de détacher la petite de son casque, même pour la sieste...
Shikou grandit sans qu'aucun évènement particulièrement notable ne traverse sa vie, et ce, jusque, à l'âge de 6 ans, prise d'une inspiration subite, Shikou s'imagina être Superman. La petite fille se jeta alors du toit du garage, et la réalité des choses se rappela durement à elle lorsqu'elle se chaussa les dents dans le béton, deux mètres plus bas. Il y eut plus de peur que de mal, ayant le cul bordé de nouilles, Shikou ne s'en tira qu'avec un léger traumatisme crânien et une felure sur une de ses dents de lait. La petite souris passa un peu plus tôt que prévu. Son pouvoir était déjà là!
Collectionnant les copains, comme on change de culotte (c'est à dire tous les jours), Shikou avait une vie amoureuse très pimentée, à la limite de Dallas et autres feuilletons à 2 francs 6 sous, se battant avec les autres filles de sa classe pour savoir qui était amoureux de qui, et souvent, les parents se retrouvaient convoqués chez la maîtresse pour une soudaine bagarre éclatée dans la cours de récréation... Bizarrement, alors que les copines s'en tiraient avec des coccards, des bleus et des bosses, Shikou, elle n'avait pas la moindre égratignure...
A 16 ans, alors que Shikou revenait du lycée, une voiture, conduite par un ivrogne, monta sur le trottoire et faucha l'adolescente avant de s'enfuir. Personne n'était dans les parages. Shikou resta 5 minutes allongée sur l'asphalte, inerte. S'éveillant, la jeune fille se rendit compte qu'elle n'était pas grièvement blessée. Enfin... Une jambe cassée, le poignet déboité, blessure crânienne... Et tout ça se résorba tout seul en quelques minutes. Ebahie, Shikou découvrit alors son pouvoir de régénération.
Après cette découverte, Shikou s'amusa à tenter de se tuer (elle sauta d'un pont, se pendit, se noyat...), et un beau jour (bon, ok, en fait il pleuvait, mais bon...), elle découvrit qu'elle pouvait également soigner.
Rentrant chez elle a vélo après avoir rendu visite à une amie, elle trouva un chat agonisant sur le bord de la route, visiblement shooté par une voiture. Attristée, Shikou s'en approcha, et se mit à caresser la tête de l'animal qui miaulait très faiblement. Alors qu'elle souhaitait de tout son coeur que le chat ne meure pas, la plaie du matou se referma.
Depuis ce jour, Shikou soigne, personnes et animaux, faisant profiter de son don.
Shikou fait à présent des études littéraires, mais s'ennuit un peu en cours, trouvant que sa vie manque de piquant, et voilà pourquoi, à la reception d'une étrange lettre la conviant dans une école dans le Sud de la France, Shikou, un peu perplexe, finit par accepter.
Divers
Shikou est venue avec Momo, le chat sauvé sur le bord de la route et qui ne la quitte plus. Le premier qui lui envoit un coup de pied, Shikou le trucide!
Sujet: Shikou Komoka 
Mar 24 Juil - 2:26
